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Polyporus umbellatus

Polyporus

Le champignon aux multiples facettes

Le Polypore, ou Polyporus umbellatus, est considéré comme un champignon important en raison de la présence de métabolites bioactifs. Son étude trouve son origine dans la tradition orientale, où il était utilisé pour le drainage à différents niveaux. Comparé au Maitaké, on observe de nombreuses similitudes, tant dans son apparence que dans certaines de ses applications. Et si on le compare au Chaga, bien qu’il soit moins populaire, ils partagent une caractéristique : aucun des deux ne peut être cuisiné, mais tous deux présentent un usage bien spécifique. Parmi les noms les plus courants de cette espèce, on trouve « Zhu Ling », « Tsuchi-maitake », « Maitake chorei » et « Grifola umbellatus ».

L'essentiel à savoir sur le Polyporus

Parmi les autres biomolécules actives d’intérêt figurent les bêta-glucanes, les terpènes, l’ergothionéine, le GABA et la provitamine D.

Champs d’étude du P. umbellatus

La recherche scientifique sur ce champignon s’est intensifiée ces dernières années, car il est considéré comme un champignon à fort potentiel.

Usages documentés du Polyporus

Nous savons aujourd’hui que l’extrait est l’une des formes privilégiées pour tirer parti des nutriments d’intérêt contenus dans le Polypore. Il garantit une forte concentration en bêta-glucanes, terpènes et biomolécules telles que l’ergone, entre autres.

Biomolécules actives du Polypore

L’extrait de Polypore est disponible sous forme de complément alimentaire en gélules, élaboré à partir d’un extrait pur, standardisé et biologique de cette espèce. Cette forme d’extrait, lorsqu’elle est combinée avec le Maitaké, est également utilisée dans des formules spécifiques. Lors du congrès SESMI 2022, les résultats d’une étude sur la synergie de ces extraits ont été présentés.

Culture du Polyporus

Le Polypore se nourrit de substrats ligneux, principalement de chêne et de hêtre. Pour cette raison, la production contrôlée de Polypore peut se faire à l’aide de sacs de culture contenant des substrats écologiques issus de ces essences ou de leurs familles. Comme pour d’autres champignons, il est essentiel de rappeler que la culture biologique doit être prioritaire, car il s’agit de grands biorémédiateurs naturels. D’un point de vue écologique, cela est particulièrement intéressant, car ces champignons peuvent absorber les métaux lourds présents dans leur environnement.

Substrats écologiques dans la culture de l’Umbellatus

Pour la consommation, l’idéal est d’opter pour des formules biologiques ou, comme cela se fait de plus en plus aujourd’hui, pour des espèces cultivées en bioréacteurs sur des substrats écologiques spécialement conçus pour optimiser la quantité et la qualité de leurs biomolécules actives.

Biomolécules qui se démarquent

Ce champignons possèdent plusieurs biomolécules dont :

  • Bêta-glucanes

  • Superoxyde dismutase (SOD)

  • Vitamines (groupe B)

  • Ergostérol

  • Terpènes

    • Polyporustérone a
    • Polyporustérone B
  • Ergone

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Habitat et géographie

Ce champignon peut être trouvé dans les forêts de toutes les latitudes, bien qu’il soit moins présent en Europe. L’Amérique centrale et l’Asie de l’Est sont les régions où l’on a trouvé le plus de spécimens poussant à l’état sauvage.

Mycologie

Umbellatus appartient à l’ordre des Poriales, à la famille des Poriaceae et au genre Grifola, qu’il partage avec le Maitaké (Grifola frondosa). Cette variété est saprophyte : elle décompose le bois pour se nourrir et, à mesure qu’elle mûrit, sa chair passe d’une texture blanche et tendre à une consistance dure et ligneuse. On peut la trouver à l’état sauvage en forêt, atteignant jusqu’à 20 kg et couvrant une surface de 10 à 50 cm. La partie souterraine du champignon, le sclérote, rappelle la truffe, ce qui explique pourquoi dans certains pays on l’appelle aussi « champignon de porc ». Diverses études ont analysé la composition de son mycélium et ont conclu qu’il se distingue par la richesse de ses substances bioactives.

La culture en bioréacteurs

Qualité, pureté et puissance maximales dans nos systèmes de production

L’une des lignes de recherche les plus avancées d’Hifas da Terra se concentre sur l’amélioration continue de la culture de différentes espèces de champignons en bioréacteurs (Reishi, Crinière de Lion, Shiitaké et Maitaké), en utilisant des substrats écologiques certifiés, ainsi que sur la standardisation de la qualité des ingrédients d’origine afin de garantir l’excellence du produit final développé à partir de chaque champignon.

Hifas Quality System

Grâce à un standard de qualité interne, nous identifions les biomolécules et principes actifs, sélectionnons rigoureusement les souches de champignons qui les contiennent, utilisons des systèmes analytiques spécifiques et exclusifs et appliquons des protocoles d’analyse à différentes étapes de la production. Ce système rigoureux nous permet de proposer des produits naturels, des compléments et des nutraceutiques avec la garantie Hifas Quality System, en nous démarquant des autres produits en matière de pureté et de qualité premium.

R&D et études sur le Polyporus

  • Hifas da Terra mène des études pour améliorer les processus de production des champignons et optimiser le développement de nouveaux ingrédients d’origine biotechnologique.
  • Hifas da Terra possède, dans sa vaste mycothèque (Banque Mycologique Hifas), des souches propres isolées de la péninsule Ibérique, qu’elle sélectionne pour le développement de ses formules.
  • Hifas da Terra mène également de nombreuses études en collaboration avec des centres de recherche et des universités.

Particularités

  • Le célèbre Ötzi, l’Homme des glaces retrouvé momifié dans un glacier du Tyrol autrichien, portait sur lui deux types de champignons polypores. On suppose qu’il les utilisait pour se protéger contre les infections.